Auto-responsable (parfois écrit autoresponsable) est un terme d’usage récent (milieu du XXe siècle), non attesté dans les dictionnaires. Dans les champs sémantiques de la responsabilité et de l’autonomie, le terme traduit une certaine vision de l’articulation entre le collectif et l’individu, libertés publiques et privées, contraintes et émancipation. La notion de responsabilité, née avec la Révolution, semble inséparable de celle de public. En effet, dès 1789, il s’agit de garantir aux citoyens la possibilité de demander des comptes aux détenteurs de l’autorité (voir l’analyse de Ferdinand Brunot, 1860-1938 ; 1937 : 1050). La responsabilité est alors assumée par l’autorité politique. En 1804, la responsabilité civile prévoit la responsabilité personnelle des individus (Descamps, 2021 : 20). De ce fait, la notion de responsabilité et celle de public ont en commun d’articuler le collectif et les individus, l’État en tant qu’autorité et en tant que corps social dans une relation réciproque en conformité avec le bien commun. Employé au singulier, le nom public suppose un groupe homogène et interroge donc la place accordée aux individus et à leurs subjectivités propres. De même, l’exercice de la responsabilité, individuelle ou collective, oblige-t-il à trouver un fragile équilibre entre bien commun et libertés individuelles. À ce titre, le terme auto-responsable semble proposer un juste milieu entre autonomie et intégration à la société.
Pourtant, en dépit de ce consensus apparent, on peut se demander si au lieu d’un juste milieu, il ne s’agirait pas d’une contradiction dans les termes. L’étude des cas d’usage du terme auto-responsable permet de dégager un certain nombre de significations. On comprend alors que le terme auto-responsable, sans être un signifiant vide au sens d’Ernesto Laclau (1935-2014 ; voir Laclau, 2000 ; Cervera-Marzal, 2019), couvre un large spectre de significations en tension entre contrainte et liberté. Être auto-responsable conduit-il à être plus ou moins responsable ? S’agit-il de l’effacement de la responsabilité à l’égard d’autrui ou d’une sur-responsabilité portée par l’individu seul, considéré comme un fardeau pour le corps social et sommé de se prendre en charge au nom du bien public ?
L’adjectif auto-responsable possède une dimension multilingue en raison d’un certain nombre d’emprunts à d’autres langues. Dans la presse et la littérature francophones (recherches sur Google Ngram, Frantext), l’occurrence la plus ancienne remonte à 1951 dans un article du quotidien français Paris-Presse L’Intransigeant au sujet de la stratégie militaire en Indochine (de Bethmann, 1951). Cependant, en langue espagnole, on trouve auto-responsable avant 1941, en tant qu’emprunt par traduction de l’allemand selbstverantwortlich employé par Martin Heidegger (1889-1976) en 1933 et reproduit dans la Déclaration des professeurs des Universités et des Écoles supérieures allemandes en faveur de Adolphe Hitler et de l’État national-socialiste (Bekenntnis der Professoren), édition imprimée composée des déclarations en allemand, assorties de leurs traductions en anglais, italien, français, et espagnol. On note que les formes auto-responsable et autoresponsable sont présentes en espagnol (p. 110-111) et self-responsible en anglais, tandis que le traducteur emploie les périphrases « peuple conscient et responsable, « entière responsabilité morale », « entière responsabilité » (p. 84) pour rendre en français le sens de l’adjectif allemand. Ce détail montre que l’adjectif auto-responsable était disponible en espagnol avant d’être attesté en français en 1951.
Auto-responsable est aussi la traduction du vocable allemand eigenverantwortlich (sous sa propre responsabilité, de manière autonome) sur les sites jobs.animap.fr ; https://animap.jobs/ch/, domiciliés en Suisse alémanique (https://reaktion.org/animap/). L’usage en espagnol s’inscrit dans des traductions d’ouvrages américains sur le développement personnel en tant qu’emprunt à l’anglais self-responsible, mais sert aussi à traduire d’autres mots comme self-reliant, le fait d’être responsable se confondant alors avec le fait de pouvoir compter sur soi-même.
Si l’on considère l’existence de relations interindividuelles réciproques comme corollaire de l’exercice de la responsabilité, le terme auto-responsable présente un paradoxe. D’un côté, auto- (qui, dans sa première acception, désigne des objets et non des êtres animés) « signifie que le phénomène désigné par la base a son origine en lui-même, se produit à l’intérieur d’un système clos, sans l’intermédiaire d’un facteur extérieur » (CNRTL ; Dugas, 1992 : 21) ; de l’autre, le sémantisme du mot responsable présuppose la relation à autrui. En effet, responsable désigne la capacité à et la légitimité pour répondre, et donc, par extension, l’obligation de répondre. De manière générale, on qualifie de responsable une personne en capacité d’assumer les conséquences de ses actes. L’action de répondre est corrélée à l’existence d’une sollicitation extérieure. Si l’on répond, c’est qu’une réponse est attendue par quelqu’un au sujet de quelque chose. Ainsi ne saurait-on se répondre à soi-même. Si l’on ne saurait se répondre à soi-même, il s’ensuit que la responsabilité est nécessairement conférée par quelqu’un ou quelque chose extérieur à soi-même. L’autre peut être un principe abstrait qui dépasse l’individu, un autre individu ou bien le corps social dans son ensemble. Nécessairement tournée vers ce qui n’est pas soi, la responsabilité semble naturellement se situer au sein d’un corps social et n’admettre aucune téléologie.
Pourtant, l’adjonction de la forme auto- produit une variante selon laquelle la responsabilité n’est conférée ni par le corps social ni par autrui, n’est assumée ni envers le collectif ni envers autrui, mais conférée et assumée par l’individu lui-même. En première approximation, être « auto-responsable » signifierait alors assumer une responsabilité en vertu de sa propre décision ou bien assumer une responsabilité non pas à l’égard d’autrui ou du corps social mais à l’égard de soi-même. Il s’agirait de marquer la différence avec une responsabilité envers autrui et imposée du dehors ou bien avec une responsabilité portée par autrui. Dans le cas d’une collectivité, être auto-responsable ferait référence à une forme d’autonomie par opposition à un quelconque potentat autoritaire. Cela étant dit, il faut noter un second sens du préfixe auto- : celui de mouvement moteur. La forme auto- a trait au domaine de la motion, de la motivation (CNRTL), et donc de la volonté. Auto-responsable qualifierait alors l’exercice de la responsabilité mue par la (seule) volonté du sujet., dont la subjectivité ne s’inscrirait pas dans un dialogue avec d’autres subjectivités donnant corps à un public ou des publics mais serait sommé de s’assumer par la seule force de sa volonté.
Dans le domaine politique, l’emploi du terme auto-responsable se retrouve dans les textes en rapport avec les politiques économiques de développement, notamment en Afrique (Pan African Institute for Development, 1997 : 16) et en Amérique Latine en langue espagnole (Cabaluz-Ducasse, 2015 : 129) et ses traductions (Mendez, 2015 : 50). Pour le cas de l’Amérique latine, le terme autoresponsable est lié à l’« éthique de la libération » du philosophe et historien Enrique Dussel (1934-2023 ; voir Hurtado López, 2013) qui qualifie l’être humain d’« œuvre d’autoresponsabilité éthique » (Dussel, 2001 : 75). Ces derniers exemples étendent le sens de l’adjectif auto-responsable, a priori davantage référé à des individus, à l’ensemble d’un pays, voire d’un continent, pour désigner le droit et/ou la capacité d’un collectif, par le biais de son gouvernement ou non, à se prendre en charge en toute indépendance (Canadian Catholic Historical Association, 1980 : 78 ; Armée du Salut, 1986 : 7). Cette vision émancipatrice s’étend du domaine politique à une réflexion plus large sur la capacité humaine à fixer ses propres règles à travers la notion de « raison auto-responsable » (Dreyfus, Taylor, 2016 : 123 ; Pélabay, 2001 : 136 ; Collectif, 2006 : 40) ou de conscience éclairée (« auto responsable […] a la luz de su propia conciencia », Cruz, 2007 : 37). En français, l’adjectif auto-responsable est ainsi associé à l’adjectif cartésien (Vincent et al., 1977 : 96) et, sous la plume du père Dominique Dubarle (1907-1987 ; 1964 : 172), au libre exercice de l’intelligence.
En management, auto-responsable désigne la qualité d’une équipe conduite vers l’autonomie grâce à son manager (Chantal, 2014 : chap. 4). L’adjectif fait référence à un type d’organisation d’entreprise décentralisée (Brulhart, 1975 : 44 ; Eggeling, Frater, 2004 : 559). Chez Nathaniel Branden (1930-2014 ; 1987 ; Howell, Jones, 2003 : 201), on retrouve une pensée de l’auto-responsabilité associée à l’autonomie. Dans une certaine mesure, il semble que la logique managériale se rapproche d’une logique éducative selon laquelle il convient d’accompagner le développement de l’enfant en vue de son autonomie (Union française des centres de vacances, de loisirs et de grand air, 1977 : 38 ; Develay, 1998 : 94). L’adjectif auto-responsable prend alors un sens positif corrélé à la notion de maturité, manager et éducateur occupant auprès de publics différents un rôle de guide vers la réalisation d’un potentiel de performance.
Dans la perspective du rapport dialectique entre individus et collectif au cœur de la notion de public, on peut regrouper un certain nombre d’emplois du mot auto-responsable dans le domaine du développement personnel (désormais DP). Dans ce domaine, les exemples s’étendent de la réflexion sur la réussite affective (Kachadourian, 2008 : 110 ; Vicencio, 2011 : 225) jusqu’à la spiritualité (Danek, 1985 : 271) en lien avec la noosphère (Morren, 1959 : 414). Auto-responsable désigne alors l’individu assumant librement ses choix et s’inscrit dans le mythe du voyage initiatique du héros, leitmotiv dans le DP utilisé par Paul Rebillot (1931-2010) en référence au schéma narratif théorisé par Joseph Campbell (1904-1987) en 1949. L’adjectif auto-responsable est utilisé avec la notion d’ipséité en haptonomie, « pratique de soin non conventionnelle fondée sur le contact affectif interhumain », selon le site officiel haptonomie.org (Revardel, 2015 : chap. 1 ; Veldman, 2015 ; Décant-Paoli, 2022). C’est aussi dans le domaine du DP que l’on retrouve la référence à l’exercice libre de la conscience dans un rapport antagoniste avec l’autorité morale (« des refuges sécuristes, des solutions autoritaires qui télescopent le difficile cheminement d’une conscience plus libre et auto-responsable », Grand’Maison, 1976 : 51). Les concepts de pouvoir personnel et de maîtrise de soi sont invoqués à l’aide de formules verbales de type PNL (« lenguaje auto-responsable » (Moorman, 1985 : 132, 163, 173, 188, 217, 245, 249, 250, 252). Il s’agit de ne compter que sur soi-même, de ne s’en prendre qu’à soi-même (Collier, 1998 : 27, 51 ; Promislow, 2001 : 17), y compris dans les événements de la vie courante (Salomé, 2002 : 15) ou la vie amoureuse (Kachadourian, 2008 : 110) au lieu d’être « à la traine » (Maev, 1995 : 232).
Dans les discours sur la santé, le terme auto-responsable, corrélé à la notion, regardée de manière positive, d’autonomie, signifie « libéré des appuis extérieurs » (Tarimo, Creese, 1991 : 84) selon une logique d’autosuffisance (Organisation mondiale de la santé, 1991 : 41). Dans le domaine médical, on retrouve le terme pour désigner le fait d’avoir prise sur des événements, une situation : « El paciente se identifica como enfermo y eleva su auto estima al grado de ser auto responsable de su padecimiento » (Hernandez Cherrez, 2014 : 32 « Le patient s’identifie comme malade et élève son estime de soi au point d’être auto-responsable de sa souffrance ») et s’oppose à la notion d’impuissance. Être autoresponsable fait partie des éléments de langage des politiques de dépenses de santé publique où la responsabilité individuelle est invoquée de façon stratégique (Morabia, 1983 : 93). Dans le contexte de la santé, on notera aussi que, en Chine en 2022, au terme de la politique zéro-covid, le slogan « chaque personne est individuellement première responsable de sa santé » circulait sur les gratte-ciel (Leplâtre, 2022 : 2). Dans le même contexte, deux ans auparavant, apparaissait le slogan « sans test – sans vaccin – auto-responsable » (jobs.animap.fr).
Capture d’écran du site job.animap. Source : https://jobs.animap.fr/.
Qu’il s’agisse de la sphère politico-économique, du développement personnel ou de la santé on voit se dessiner un axe de signification à partir des notions de contrainte et de liberté. Dans une réflexion politique tournée vers l’émancipation, être auto-responsable revient à s’émanciper du joug d’un gouvernement extérieur afin d’accéder au droit à l’autodétermination, soit le droit à décider de son destin en tant que peuple ou individu libre. Dans une réflexion politique tournée vers l’effort individuel, être auto-responsable signifie ne pas dépendre d’autrui et évoluer par ses propres forces, attitude censée alléger la charge collective (Blocher, 2004). Aussi, bien que le terme auto-responsable renvoie aux notions d’autonomie et d’indépendance, ne peut-on écarter le revers de cette orientation, qui ressemble à la promotion d’un individualisme radical. S’agit-il alors pour les individus de s’affranchir de la collectivité ? Les cas d‘usage montrent qu’il s’agit plutôt de promouvoir un modèle de représentation où les pouvoirs publics, de même que la puissance publique se retirent au profit d’un soi-disant pouvoir personnel des individus, c’est-à-dire, pour reprendre les termes de Pierre Dardot (2020 : 78 ; 2017, 54), le « gouvernement par l’individualisation ».
À l’instar du mot autonomie qui fait consensus quant à ses connotations positives (Krazem, 1996 ; Krazem, Busy, 2017) l’adjectif auto-responsable désigne un état ou une qualité souhaitable (Morin, Truong, 2018 ; Starck, 2003 : 216) selon des emplois variés pour qualifier des personnes (« consommateur auto-responsable » ; « citoyen auto-responsable ; « collégiens auto-responsables » ; « un public auto-responsable » ; « société auto-responsable » ; « chacun […] autoresponsable » ; ou des choses (« production autoresponsable » ; « certificat autoresponsable » ; « vie autoresponsable » ; « ramassage auto-responsable » ; « procédé auto-responsable » ; « démarche auto-responsable » ; « festival auto-responsable » ; « infrastructure auto-responsable » ; « gestion auto-responsable »). Cependant, autoresponsable est aussi employé pour décrire et critiquer un idéal de performance auquel l’individu consentirait à se soumettre. Au sujet des systèmes économiques néo-libéraux (Ackerman et al., 2022 : 437 ; Diez et al., 2018 : 74 ; Godelier, 2010 : 198 ; Leuenberger, 2005, Morabia, 1983), la stratégie consiste à vanter le pouvoir individuel d’entreprendre au détriment de la sécurité des droits sociaux acquis : « Le travailleur indépendant, auto-responsable, entrepreneur de lui-même, qui travaille toute sa vie, sans horaires, sans garanties de la part de l’État, […] Qui se voue au culte de l’efficacité et de l’autorégulation […] » (Diez et al., 2018 : 74) selon une logique où la sécurité sociale, au sens général du terme, tombe en désuétude au profit de la prise de risque nécessaire et prometteuse : « Cela implique […] un sujet-entrepreneur de soi, autogéré, entreprenant, résilient, auto-responsable, qui assume la précarisation, l’insécurité et la vulnérabilité comme défis, […] et la responsabilité des individus eux-mêmes s’exprimant à son tour par un rejet des droits collectifs […] (Ackerman, 2022 : 437). On note également l’emploi du terme auto-responsable pour décrire de façon critique la condition du danseur appelé à assumer le poids de la discipline et de la norme sur le travail du corps (Desprès, 2008 : 291).
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Dans l’ensemble, auto-responsable véhicule l’idée de se libérer de l’autorité (management, éducation, économie) selon une axiologie où sécurité et protection deviennent des limites ou des charges. L’individu auto-responsable est alors celui qui se prend en charge sans dépendre de l’effort collectif ni des institutions et devient un agent direct du progrès, au lieu que le corps social ou les institutions garantes du droit soient appelés à protéger les individus. Être auto-responsable, en tant que qualité individuelle, peut, d’une part, conduire à consentir au retrait de l’autorité publique au nom de la liberté et de l’intérêt des individus, et, d’autre part, conduire à l’acceptation d’une responsabilité immanente, chaque individu se considérant comme la cause inaltérable de ce qui lui arrive. Aussi, être auto-responsable occulte la responsabilité réciproque envers autrui, au profit d’une sur-responsabilité de l’individu, fondée sur sa volonté propre, comme si nul pilotage public ni économique n’était à mettre en cause dans les maux qui touchent les sociétés.
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