Médiation


 

Un mot ancien, mais un concept au succès récent

Le mot médiation est issu du latin mediatio qui signifie médiation, entremise, et appartient à la famille du verbe mediare qui signifie partager entre deux, être à son milieu, à moitié, s’interposer (Gaffiot, 1934), de l’adjectif medius, qui est au milieu, qui n’est ni à droite, ni à gauche, moyen, indifférent, d’où viennent les noms medium : milieu, centre, place publique (Martin, 1941) et mediator : intercesseur. Littré en trouve des occurrences dès le XVIIe siècle dans le sens de l’« action de celui qui est médiateur », soit « celui, celle qui s’entremet entre deux personnes ».

En sciences humaines et sociales, le concept de médiation apparaît en droit dans les années 1960 aux États-Unis sous la forme de l’Alternative Dispute Resolution (ADR) et donnera lieu en France aux « modes alternatifs de règlement des conflits » (Adeline, 2019). Les années 1980-1990 voient l’explosion de la médiation dans le domaine social : apparaissent la médiation familiale, d’entreprise, d’affaires, le Médiateur de la République, les médiateurs sociaux… De nouvelles institutions fondées sur le modèle de l’ombudsman apparaissent comme outil de communication entre l’État, ses services et les citoyens, usagers (en Suède, l’ombudsman est un haut fonctionnaire, élu par le parlement depuis 1809, qui recevait les plaintes d’ordre administratif adressées au roi).

On retrouve le concept dans le domaine culturel à partir des années 1980 ; l’objectif de la médiation culturelle est alors « de partager des œuvres et des savoirs avec le plus grand nombre » (Bergeron, 2016). Dans les années 1990, la médiation culturelle fera l’objet de formations universitaires, contribuant à la reconnaissance professionnelle de l’activité. En 2002, l’expression « médiateur scientifique » apparaît dans le référentiel des métiers du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche (ibid.). Selon Andrée Bergeron (id.), le succès du mot médiation est dû au fait que « non seulement il indique de nouvelles formes d’adresse au public (dans le droit fil de la tradition d’éternelle rupture des institutions muséales scientifiques), mais aussi il renvoie à un cadre d’analyse renouvelé (et encore jugé iconoclaste) des sciences elles-mêmes », cadre dans lequel la culture et la science ne sont pas produites en dehors du champ social, mais sont le fruit des relations qui s’y jouent.

La montée en puissance du concept de médiation va de pair avec le questionnement contemporain du renouvellement de la gouvernance et du partage du pouvoir. Elle marque le passage d’une société où le savoir est approprié comme outil de puissance par une classe dominante (voir, par exemple, les analyses de Karl Marx et de Pierre Bourdieu) à une société de diffusion du savoir et de la participation où domine la classe moyenne (Rasse, 2001). Jean-Marie Privat (2017) évoque quant à lui une demande sociétale croissante d’épanouissement personnel qui bouleverse les modèles traditionnels de transmission.

L’essor de ce concept nécessite un approfondissement dans de nombreux champs d’application spécifiques, sur lesquels un nombre substantiel d’auteurs se sont spécialisés. À titre d’exemples, nous pouvons citer : médiation culturelle (Caune, 2017), médiation scientifique (Chupin, 2016), médiation juridique (Guillaume-Hofnung, 1995), médiation sensible (Klinger-Dollé, 2016), médiation artistique (Hennion, 1993), médiations dans les médias comme outil de régulation (nomination d’un médiateur à France 2 et France 3 en 1988 et au sein du Monde en 1994 – Noyer, 2016)… Il ne s’agit pas ici de s’attarder sur chacun de ces sous-champs, mais de proposer un aperçu du concept de médiation.

 

La médiation agit sur la communication

Dans les études sur l’information-communication, la médiation désigne l’intervention d’un tiers dans une relation de communication entre deux entités. Ces entités peuvent être des objets, des personnes, des techniques, plus largement des systèmes. La médiation est elle-même une forme particulière de la communication et se fait par l’entremise d’un média entendu comme tout ce qui sert de support à la communication, voire plus largement s’interpose entre nos perceptions et le monde, porte et informe le message, voire le constitue (Mac Luhan, 1964). La médiation peut donc prendre diverses formes en fonction des publics et du média choisi : transmission, traduction, vulgarisation, régulation…

La médiation n’est utile que si la communication entre les deux entités pose problème. Selon le schéma de la communication établi par Claude Shannon et Warren Weaver (1948), ce problème peut intervenir à trois niveaux :

  • au niveau technique, il peut affecter le canal ; la médiation portera alors sur les spécificités techniques du média : l’utilisation de l’internet, l’éducation aux médias, la sensibilisation à la presse…
  • au niveau sémantique, il concerne la compréhension des symboles et du code ; la médiation se fait métalinguistique comme dans le cas de la médiation scientifique où il s’agit de transposer la langue savante en langage commun ;
  • au niveau de la transmission (Claude Shannon et Warren Weaver parlent d’efficacité), il s’agit d’accorder émetteur et récepteur en prenant en compte leurs spécificités psychosociologiques et culturelles.

Selon Jean Davallon (2004), la médiation fait le lien entre deux modèles concurrents des sciences de l’information et de la communication : (i) celui de la transmission de l’information par le biais de moyens techniques et (ii) celui des interrelations, selon lequel le lien social créé par la communication est plus important que le message lui-même.

La demande de médiation est susceptible de provenir de différentes sources : le public peut être demandeur, mais il peut être aussi une cible désignée que l’on veut chercher à atteindre. C’est souvent le cas en ce qui concerne la médiation pédagogique pour laquelle les élèves constituent un public captif. C’est aussi le cas de certaines médiations culturelles ou citoyennes dont l’objectif est d’atteindre des populations en vue de transformer leurs conceptions ou leurs comportements. La médiation se fait donc dans un cadre culturel, social, institutionnel qui la rend potentiellement utile et la légitime.

 

La médiation est une mise en relation

Selon le modèle transmissif de la communication (i), la médiation met en relation un émetteur et un récepteur souvent associé à une cible ou à un public.

Émetteur et récepteur peuvent entretenir une relation d’égalité. La médiation servira alors à une régulation de leur interaction et à un échange équilibré d’informations. Elle sera rendue nécessaire par une difficulté de mise en contact ou du fait d’une différence de codes. La communication publicitaire, par exemple, joue un rôle de médiation en informant un public de l’existence d’un objet ou d’un service, mais aussi en cherchant à séduire, littéralement à amener à soi (se ducere), un public qui n’en possède pas (encore) nécessairement les codes (Jean Davallon – 2004 – parle de médiatisation en ce sens).

Les deux entités peuvent aussi être dans un rapport d’asymétrie, l’une des deux étant en position d’autorité par rapport à la seconde. C’est le cas de la médiation culturelle dont l’objectif est l’acculturation de son public. C’est aussi le cas de la médiation scientifique qui consiste à traduire le langage scientifique en langage commun, au prix d’une déperdition, voire d’une dégradation ou d’une transformation de l’information. Cette asymétrie n’est pas sans poser problème, notamment dans la médiation environnementale opérée par les parcs nationaux. La médiation y met en relation des acteurs dont certains sont survalorisés (les experts) et d’autres se sentent spoliés de leurs pratiques (la population des territoires concernés [Boillot-Grenon, 2004]). Une médiation maladroite peut vite devenir excluante en soulignant l’asymétrie plutôt qu’en l’effaçant. La médiation porte en elle tout à la fois une dimension d’aide, de leviers et d’obstacle que chacun peut éprouver/rencontrer en tant que médiateur et/ou « médié ».

Les cas de la médiation journalistique et pédagogique sont particuliers dans le sens où ils instaurent l’autorité (de plus en plus contestée) du médiateur : le journaliste ou le professeur, détenteurs d’un véritable savoir-faire, et surtout producteurs et non seulement passeurs de savoir. Le public ne peut recevoir la médiation que s’il est dans une position de confiance, voire d’humilité par rapport au médiateur. Ce rapport de confiance tend toutefois à se désagréger du fait de l’importance croissante des technologies qui rendent l’information directement accessible (ou donnent l’illusion de son accessibilité) et permettent de véhiculer de plus en plus rapidement de fausses informations ou infox.

 

La médiation est une technique

L’étymologie du mot médiation indique le recours à un moyen terme (medium), un lieu commun, neutre, dans lequel un débat peut être tranché ; ou à une personne (mediator) qui permette soit de résoudre une difficulté, soit de créer des possibilités qui n’existeraient pas sans lui. Pour autant, l’activité de médiation est loin d’entraîner nécessairement la transparence du médiateur. Cette transparence ‒ ou neutralité ‒ est exigée d’un traducteur ou d’un médiateur animant un débat public. Néanmoins, même dans ce dernier cas, il est reconnu que la médiation opère un travail qui oriente et modifie la communication : distribution de la parole, synthèse des informations. Dans tous les cas, la médiation se réalise par la mise en œuvre d’une technique et/ou d’un savoir-faire spécifique : animation, traduction, pédagogie, didactique, élaboration de l’information…

Pour Marshall Mac Luhan (1964), « le média, c’est le message ». Cela signifie que ce qui transforme les termes de la communication, ce n’est pas tant le contenu que la forme même et le mode de fonctionnement du média. L’invention de l’alphabet, sa diffusion mécanisée par l’imprimerie, puis l’extension des réseaux ferroviaires nous auraient ainsi fait passer d’une organisation tribale à des sociétés centralisées, nationalistes, spécialisées et individualistes. En revanche, l’avènement des médias électroniques, en multipliant les centres et leurs interrelations, nous referait basculer dans le tribalisme et dans l’ère du « village global » dans lequel l’individu devient conscient de « son interdépendance globale avec le reste de l’humanité ». En prolongeant les organes perceptifs de l’individu, le média en vient à faire corps avec ce dernier, le rendant inconscient de la médiation qu’il opère et le transformant en profondeur.

 

Du public à l’acteur : la médiation est un processus de transformation

Dans ce même esprit, on observe que la médiation transforme les termes de la communication. Elle transforme le message et son référent. Dans la sphère urbaine, notamment, Émilie Flon (2012) montre comment la médiation s’opérationnalise dans des espaces physiques qui invitent le public à une modification de ses perceptions, de ses comportements, à une appropriation permise par le dispositif médiateur. Ainsi les mises en scène du métro de Taipei (Taïwan), qui font écho aux quartiers traversés, incitent-ils à observer et percevoir les espaces traversés. La médiation peut de la sorte bouleverser la perception de l’environnement par chacun. Alain Roger (1997) développe le concept d’artialisation in situ et in visu du paysage : par ce double processus d’éducation de notre regard par l’art et de conformation matérielle du monde à nos critères esthétiques, le pays est transformé en paysage (voir Husson, 2019).

La médiation opère également une transformation de l’une au moins des deux entités mises en relation en lui permettant d’accéder à une information (modèle transmissif de la communication, i) ou en l’intégrant dans une interrelation (modèle social). Ce dernier modèle (ii) est le plus approprié pour rendre compte des effets en boucle que la médiation opère sur l’ensemble du système communicationnel. Dans certains cas, cette transformation s’opère sur elle-même : l’enseignant ajuste son enseignement à l’évaluation qu’il en fait, le logiciel de reconnaissance vocale s’enrichit de son usage. Dans d’autres cas, la médiation s’institutionnalise et devient elle-même un média : presse, éducation nationale, musées, parcs naturels… Elle impose alors son propre code et devient son propre message. Elle instaure une sacralité qui sépare le public profane des initiés : une information sera jugée vraie si elle a été « vue à la télévision », une œuvre sera reconnue « d’art » sitôt qu’elle sera exposée dans une galerie ou dans un musée…

Néanmoins, le rôle du public tend à se transformer du fait de l’accessibilité de plus en plus grande de l’information rendue possible par les nouvelles technologies de l’information. Ceci n’est pas sans conséquence sur la médiation elle-même : de récepteur passif, le public est appelé à devenir acteur par sa capacité à se former lui-même (pédagogie de la compétence, communautés apprenantes) et à porter un regard critique sur les médias (formation aux médias) ; la médiation se fait alors réflexive : loin de rechercher la transparence, elle se met en scène et se soumet à l’analyse du public. Cette encapacitation du public a cependant des effets paradoxaux : les utilisateurs des réseaux sociaux en particulier visent à faire croire à la transparence parfaite de la médiation d’un outil qui fournirait un accès direct à la vérité. Les pastilles de « désinfox » (courtes séquences de décryptage de l’information dans les médias) qui fleurissent dans les médias visent alors à redonner de l’opacité à cette médiation en permettant de voir son fonctionnement et en montrant que l’information n’est pas un simple reflet de la réalité mais qu’elle est fabriquée. La médiation est ainsi rendue visible et s’offre à la critique.

Enfin, la médiation peut aussi prendre la forme d’une négociation où le sens, la perception même du monde, est co-construit par les acteurs d’un projet. C’est ainsi que les projets d’aménagement du territoire doivent faire l’objet de débats (loi dite Barnier du 2 février 1995) où chaque représentation de l’environnement fondée sur des valeurs différentes (écologique, sécuritaire, sociale, économique, culturelle, esthétique, pour reprendre les catégories de Jacques Theys [1993]) passe par une médiation.

Chaque participant à un débat vient avec ses propres conceptions et ses angles morts. La mise en commun et la traduction des conceptions des participants font naître chez chacun la prise de conscience des angles morts et une perception différente de l’environnement et des paysages. En effet, la mise en commun opérée par la médiation rend visibles à tous des signes indiciels (un indice est un signe attaché à la chose, comme le ciel bleu est signe de beau temps) ou symboliques (un symbole est un signe arbitraire qui renvoie à une chose comme l’olivier qui symbolise la paix) au sens de Charles S. Peirce (1978) jusque-là invisibles car sans signification pour la plupart des acteurs, et enrichit donc la sémiosphère (c’est-à-dire l’ensemble de ce qui fait sens dans le monde) de chacun. Dans ce processus de concertation, le public tend à se faire médiateur de lui-même. À cet effet, notamment dans le cadre de débats délibératifs plus que consultatifs, des méthodes de médiation par les pairs ou de design collaboratif (pratique du design qui implique les usagers dans le processus créatif) peuvent être mises en place, par exemple dans le cadre de communautés apprenantes afin de résoudre des problèmes ou de mettre en place des projets d’aménagement. On pourra alors parler de co-médiation. De manière plus ambiguë, la médiation peut aussi devenir concertation (Bratosin, 2001 : 17), un processus culturel qui consiste à « décider de concert avec ceux qui ne décident pas » et participerait à ce titre d’une pensée mythique.

 

La médiation au cœur de la reliance

Selon le modèle social de la communication (ii), on ne parle plus d’émetteur ni de récepteur, et donc plus de public, mais d’acteurs sociaux qui, selon Marcel Bolle de Bal (2003 : 104) « sont à la fois liés (ils ont des liens directs entre eux), et reliés par un ou des systèmes médiateurs (qu’il s’agisse d’une institution sociale ou d’un système culturel de signes ou de représentations collectives) ». La médiation est alors définie comme « le système plus ou moins institutionnalisé, reliant les acteurs entre eux » et complète la définition de la reliance en tant que processus d’institution des médiations (médiatisation), et produit de ces dernières. L’auteur décrit le besoin de re-liance et donc la médiation comme une compensation au processus moderne de dé-liance qui, sous l’effet de la double rationalisation scientifique et sociale, a rompu les liens humains fondamentaux (liens à soi, aux autres, au monde et au Ciel). Le retour du religieux dans notre société (un religieux non déiste, canalisé par la médiation des religions traditionnelles) peut être lu à travers ce prisme. La médiation, sous toutes ses formes, serait le ciment des sociétés hyper-modernes. En outre, en permettant de sortir de la logique du tiers exclu, elle devient un concept clé de la pensée complexe (Morin, 1990) pour aider à leur compréhension. Le monde n’est plus organisé d’une manière binaire, avec les savants d’un côté et les ignorants de l’autre. Les dernières évolutions de la notion de médiation nous invitent ainsi à redéfinir la notion de public et son rôle, dans le cadre d’une médiation qui ne se contente plus d’être transmissive, mais qui devient un mode de partage.


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Auteur·e·s

Araszkiewiez Jacques

Transitions Université Côte d’Azur

Coulbaut-Lazzarini Amélie

Transitions Université Côte d’Azur

Couston Frédéric

Transitions Université Côte d’Azur

Citer la notice

Araszkiewiez Jacques, Coulbaut-Lazzarini Amélie et Couston Frédéric, « Médiation » Publictionnaire. Dictionnaire encyclopédique et critique des publics. Mis en ligne le 24 juin 2019. Dernière modification le 23 septembre 2024. Accès : https://publictionnaire.huma-num.fr/notice/mediation.

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