Le prêche, la prédication, le sermon ou l’homélie – tous ces termes sont synonymes même s’ils recèlent des nuances – désignent la parole publique chrétienne dite à l’occasion des services religieux. Ceux-ci, faut-il le rappeler, sont des rassemblements, ouverts à tous, ce qui fait que le prêche ou la prédication, quand bien même se tiennent-ils dans des lieux spécifiques (églises, chapelles, temples), sont bien des actes publics de communication.
Il s’agira d’abord de proposer un rappel historique, car le prêche, sans être spécifique au christianisme (il est commun aux « religions du Livre »), est constitutif de sa vocation même, qui est de proclamer un message qu’il a lui-même reçu. Ainsi Paul (début du Iᵉʳ siècle-vers 67), que l’on peut considérer comme le « fondateur » du christianisme, a-t-il pu dire : « Je vous ai transmis en premier lieu ce que j’ai moi-même reçu » (1 Corinthiens 11:23 et 15:3). Et qu’a-t-il reçu ? Une parole précisément, un message à annoncer, qui a été formulé ainsi le jour de Pâques à trois femmes, lesquelles, à leur tour l’ont dit aux apôtres, lesquels l’ont redit ensuite à d’autres : « Mais allez dire à ses disciples et à Pierre : [il est ressuscité], il vous précède en Galilée, c’est là que vous le verrez » (Évangile de Marc 16:7). Ce message, que l’on pourrait considérer comme le premier prêche, a été répété et interprété tout au long des siècles et il continue à l’être aujourd’hui dans le temps et dans l’espace dans un christianisme présent sur les cinq continents.
La présentation se focalisera davantage sur le protestantisme, peu connu car minoritaire en France, mais majoritaire en Suisse et dans de nombreux pays d’Europe du Nord. En effet, c’est aussi le protestantisme qui, dans le sillon de la Réforme du XVIe siècle, a remis le prêche au cœur de la célébration chrétienne. D’ailleurs, il serait préférable d’utiliser le mot « prédication » qui est devenu le terme technique pour parler de cet exercice oratoire. C’est aussi ce mot qu’utilisent les historiens (Bériou, 2002 ; Dahan, 2011). Les mots « prêche » et « sermon » sont non seulement vieillis, mais aussi connotés négativement comme des discours moralisants, moralisateurs, voire culpabilisants, travers dont ne sont d’ailleurs pas exempts ces actes de communication publics.
La prédication, aux origines de l’Église chrétienne
Le prêche est un des moments constitutifs du christianisme. En effet, celui-ci aurait pu rester une spiritualité interne au judaïsme, mais c’est l’apôtre Paul qui, en diffusant largement le message chrétien dans l’ensemble du monde gréco-romain au Ier siècle de l’ère commune, a donné une vocation publique et universelle à la pensée chrétienne (Becker, 1989) : toutes et tous, sans distinction de sexe, de culture, d’ethnie, de condition sociale sont les destinataires potentiels du message de Jésus, repris et réinterprété par les témoins apostoliques. Emblématique de cet universalisme chrétien est cette déclaration de l’apôtre : « Il n’y a plus ni Juif ni Grec ; il n’y a plus ni esclave ni homme libre ; il n’y a plus l’homme et la femme ; car tous, vous n’êtes qu’un en Jésus-Christ » (Galates 3:28). Ainsi le christianisme a-t-il pris le contrepied d’autres religions très présentes dans l’Empire romain, des religions à mystère (par exemple le mithraïsme, qui ne divulguaient leur rites et doctrines qu’aux seuls initiés, sous le sceau du secret, selon la discipline de l’arcane : le message doit rester caché au public qui n’aurait pas les qualités pour le recevoir (Badisches Landesmuseum Karlsruhe, 2013).
Un bon exemple des conditions de communication d’une des premières prédications chrétiennes est la Première épître de Paul aux Corinthiens (chapitre 14), un des plus anciens écrits du Nouveau Testament : l’apôtre Paul doit prendre position dans un conflit qui éclate à l’occasion de la manière de s’adresser au public en vue de l’évangéliser : doit-on parler au public « en prophète » ou « en langues » ? L’enjeu communicationnel à l’égard du public religieux est essentiel car « parler en prophète » signifie pour Paul parler de manière compréhensible, tandis que le « parler en langue » (ou « glossolalie ») désigne l’utilisation d’un langage nouveau, incompréhensible, qui est le signe de l’irruption de l’Esprit Saint sur le croyant. Les Églises pentecôtistes actuelles pratiquent massivement le « parler en langue » et en ont fait un marqueur identitaire et confessionnel (Anderson, 2013). Revenons aux origines : dans cette lettre de Paul écrite autour de l’an 50, l’apôtre plaide pour un discours compréhensible, clair, non démagogique, qui s’adresse d’abord à l’intelligence de chacun, mais sans élitisme : « Si votre langue n’exprime pas des paroles intelligentes, comment comprendra-t-on ce que vous dites ? » (1 Corinthiens 14:9). Et il poursuit : « Dans une assemblée, je préfère dire cinq paroles intelligibles pour instruire aussi les autres, plutôt que dix mille en langues » (1 Corinthiens 14:19).
En cela, l’apôtre des Nations, comme on désigne Paul de Tarse pour avoir été le premier à adresser la prédication chrétienne aux non-Juifs, à la suite de Jésus, reprend une tradition du judaïsme pharisien. Le judaïsme du temps de Jésus était en effet composé de multiples groupes religieux plus ou moins rivaux. Parmi eux, les pharisiens, qui avaient créé les synagogues, étaient les plus progressistes, soucieux de l’éducation de tous (Tassin, 1986). Ils avaient centré leur culte autour de la lecture publique et de l’explication des écrits de la Torah et des prophètes. Un récit présent dans les trois Évangiles synoptiques (Matthieu, Marc et Luc) rapporte que Jésus enseignait dans les synagogues comme l’aurait fait tout Juif pharisien de son époque, en lisant les Écritures, puis en les commentant. Luc par exemple, rapporte que « [Jésus] se leva pour faire la lecture » (Evangile de Luc 4:16) et qu’ensuite « Il commença à leur dire : Aujourd’hui cette écriture est accomplie, pour vous qui l’entendez » (ibid. 4:21). Dans un contexte qui est encore celui du judaïsme du premier siècle, s’établit un schéma qui sera celui de tout prêche : lecture des textes bibliques, suivi d’un commentaire qui actualise ces textes dans la situation qui est celle des auditeurs de la prédication.
Le christianisme des premiers siècles a donné une place centrale à ces prédications qui avaient une double vocation : l’enseignement, puisqu’il fallait donner aux nouveaux peuples christianisés les bases doctrinales et la connaissance des textes bibliques ; mais aussi l’édification, car il fallait fortifier les croyants dans leur foi anciennement ou nouvellement acquise (Junod, 1994). Ainsi la patristique, cette période féconde des Pères grecs ou latins de l’Église des premiers siècles, a-t-elle vu des figures de la prédication chrétienne. Parmi celle-ci : Augustin d’Hippone (saint Augustin, 354-430), un des plus grands rhéteurs latins qui a mis ses talents rhétoriques, théologiques et pédagogiques au service du développement d’un christianisme fondé principalement sur l’enseignement, l’écoute et la mise en pratique de la prédication chrétienne (Collectif, 1991). Dans son De catechizandis rudibus, ouvrage écrit en l’an 399-400, Augustin montre quelle peut être la performativité d’une parole publique fondée sur « le sentiment de sympathie » quand il écrit : « Lorsque les auditeurs sont impressionnés par nous qui parlons, et nous-mêmes impressionnés par eux qui apprennent, nous demeurons les uns dans les autres ; et, de ce fait, ils prononcent en nous, pour ainsi dire, ce qu’ils écoutent et nous apprenons en eux en quelque sorte ce que nous enseignons » (Augustin, 399-400 XII, 17).
Pendant le Moyen Âge, le prêche perdure mais devient de plus en plus difficilement compréhensible ; d’abord pour une question de langue, la langue oratoire liturgique restant le latin alors que le peuple parle de plus en plus les langues vernaculaires ; ensuite, parce que, à l’exception de grands prédicateurs présents dans les cours royales ou dans les universités, le clergé, mal formé et peu éduqué, n’arrive plus à construire un discours fondé sur une rhétorique argumentée et fondé sur des sources. Enfin, parce qu’après les décisions du Concile de Latran IV (1215), la célébration eucharistique devient le sommet de la messe chrétienne, moment intense vers lequel toute la liturgie doit converger. Toutefois, vers la fin du Moyen Âge quelques grands prédicateurs se font connaitre et deviennent populaires comme :
Cette époque voit également l’apparition des ordres des prêcheurs (franciscains et dominicains) qui recommencent à s’adresser au peuple en vue de son éducation : ils prêchent dans d’immenses églises bâties à cet effet ou même sur les places des villes et villages. Ainsi voit-on encore, parfois, dans certaines églises ou cathédrales de cette époque, des chaires extérieures destinées au prêche public comme à la cathédrale de Prato, en Toscane (Italie).
Renouveau de la prédication à la Réforme
Mais c’est la Réforme qui, au XVIe siècle, a remis au cœur de la pratique religieuse et du culte chrétien le moment central de la prédication (Bedouelle, Noblesse-Rocher, 2008). Pour Martin Luther (1483-1546), Jean Calvin (1509-1564) et les autres réformateurs, le culte chrétien n’est plus principalement centré autour du sacrement de l’eucharistie, mais autour de la prédication, qui est un commentaire actualisé des Écritures bibliques. Pour cela, les prédicateurs travaillent à partir du texte biblique d’origine, en hébreu ou en grec, en font une exégèse et démontrent ensuite, au prix d’une démarche herméneutique (interprétative), l’actualité de ces textes pour leur public. L’enjeu est de montrer que grâce à l’oralité du discours, le texte écrit, « mort », devient une parole « vivante », qui s’adresse à chacun et l’aide à vivre, à croire, à espérer, à penser, à agir, pour son bien et pour le bien commun (Parmentier, 2004).
Donc, si la prédication développe bien des conseils éthiques, des règles de vie, un message moral, cet aspect est second car le message premier reste spirituel : il doit aider à rendre le Dieu chrétien présent et vivant pour chaque croyant, et même pour chaque citoyen puisqu’à cette époque de chrétienté les deux identités (chrétien et croyant) se recouvrent totalement, même si la chrétienté se divise par ailleurs en de multiples confessions rivales. C’est ainsi que les prédications protestantes, au XVIe siècle, pouvaient durer plus d’une heure, incitant à placer des sabliers à côté des chaires afin de limiter le temps des orateurs.
Sous l’influence de la Réforme et après le Concile de Trente (1545-1563) qui lui répond, le catholicisme romain, même s’il renforce le pôle sacramentaire de la messe, redécouvre lui-aussi les vertus du prêche. C’est ainsi que le catholicisme a formé d’excellents maîtres en rhétorique publique dont l’un des plus célèbres est Jacques-Bénigne Bossuet (1627-1704) (voir Régent-Susini, 2019). C’est à l’époque baroque que l’on voit les églises (aussi bien catholiques que protestantes) se remplir d’immenses chaires, hautes, positionnées dans la nef, afin que les prêches, homélies ou sermons soient audibles et le prédicateur visible par tous.
La prédication à l’époque contemporaine
À l’époque contemporaine, le prêche, communément appelé homélie (le mot est dérivé du grec homelia [ὁμιλία], voulant dire « assemblée ») dans le catholicisme, prédication dans le protestantisme, reste un moment fort du culte chrétien occidental même s’il reste une marque du protestantisme. Sa place est moindre, sinon même inexistante, dans le christianisme oriental et les Églises orthodoxes pour lesquelles le sacrement et surtout la liturgie se suffisent à eux-mêmes comme canaux de transmission de Dieu à son peuple. Sous l’influence de la théologie protestante, une discipline spécifique de la théologie s’est développée, l’homilétique. Celle-ci vise moins à construire un prêche ou des exercices oratoires qu’à fixer les règles méthodologiques, linguistiques et herméneutiques, qui permettent de passer des textes anciens, historiquement datés et situés, à une parole contemporaine, « pour aujourd’hui » (Craddock, 1991 ; Theissen, 1994 ; Grevel, 2002). La préparation d’une prédication se fait principalement en deux temps : un travail d’exégèse sur le texte biblique retenu et ensuite une actualisation en fonction des intentions de l’auteur, des attentes des auditeurs et du contexte social, religieux, économique dans lesquels se trouve l’assemblée (Weber, 1995 ; Parmentier, 2004 ; Deneken, Parmentier, 2010).
Dans sa version nord-américaine, une prédication populaire, volontiers nationaliste (Fath, 2004), couplée à un usage intensif des médias de masse (aujourd’hui numériques), a produit et produit encore des prédicateurs vedettes (les « télévangélistes », à l’exemple de Billy Graham [1918-2018]), capables de s’adresser quotidiennement à des milliers, voire des millions de fidèles (Mort, 2020). Ainsi peut-on passer facilement du prêche en église au discours public, voire à l’action politique comme l’illustre l’ancien, et resté célèbre, discours antiraciste du pasteur Martin Luther King (1929-1968) « I have a dream », qui peut être qualifié indistinctement de prédication chrétienne et de discours public en vue d’une mobilisation civique (King, 1998 ; Casalis, 1970 ; Mottu, 2000). Si une telle immixtion n’est plus guère possible en France, notamment en raison de son histoire et d’une plus stricte séparation entre les sphères du religieux et du politique, l’Europe des pays germaniques, anglo-saxons et nordiques connaît aussi des prédicateurs chrétiens devenus figures politiques et publiques comme le pasteur est-allemand Joachim Gauk qui a été Président de la République fédérale allemande de 2012 à 2017.
À la différence des prêches catholiques, ceux du protestantisme ne sont pas prononcés par les seuls clercs, mais ils peuvent être le fait de toute personne engagée dans la foi et dans l’Église à condition d’avoir été formée et formellement désignée pour cet acte de communication publique. Non seulement les femmes ne sont pas exclues, elles sont même devenues des oratrices importantes du fait de leur nombre grandissant dans le pastorat. Dans certaines régions ou Églises, elles sont même en passe de devenir majoritaires (Cottin, 2020). Des personnalités comme Gérard Larcher, actuel président du Sénat, sont également « prédicateurs laïcs » de leur Église (en l’occurrence l’Église protestante unie de France). Pareillement, des intellectuels français comme Jacques Ellul (1912-1994) ou Paul Ricœur (1913-2005), à leurs heures, furent aussi prédicateurs.
Les réseaux sociaux, la pandémie de la Covid-19 en 2020 qui a imposé de nouvelles formes de communications médiatiques, l’apparition sur le territoire français de mega-churches sur le modèle américain (où les célébrations, réunissant des centaines, voire des milliers de personnes, sont retransmises en direct sur les médias sociaux), renforcent dans les médias et dans l’espace public le poids des prêches. Ceux-ci s’apparentent souvent à des émissions télévisées spectaculaires, dans lesquelles l’apparence, les paillettes et une rhétorique parfois simpliste et simplificatrice en phase avec leur dispositif médiatique l’emportent sur le discours argumenté et construit. Les Églises dites « historiques » (catholicisme romain, Églises issues de la Réforme) restent dans la tradition de la forme homilétique qui a traversé les siècles. La relativement bonne qualité des prêches ou prédications, qui restent des discours argumentés et fondés sur un travail historique et critique des textes, continue de faire circuler cette forme de communication spécifique dans l’espace public.
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